Bidard, Théophile, Jean, Marie
Informations sur cet acteur
Libellé | Date de début | Lieu |
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Bidard, Théophile, Jean, Marie - Naissance à Rennes | 1804-03-11 | Rennes |
Bidard, Théophile, Jean, Marie - Retraite | 1867-07-22 | |
Bidard, Théophile, Jean, Marie - Décès | 1877-10-20 | Rennes |
Date de début | Qualité obtenue | Institution | Commentaires |
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1821-00-00 | baccalauréat es lettres |
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1824-00-00 | Licencié en droit | Faculté de droit de Rennes | |
1826-00-00 | Docteur en droit |
Date de début | Date de fin | Statut enseignant | Institution | Discipline | Statut du cours | Commentaires |
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1832-09-06 | 1867-07-16 | Professeur titulaire d'une chaire | Faculté de droit de Rennes | Procédure civile et législation criminelle | Chaire d'Etat |
Inspecteur des domaines et de l'enregistrement
Père : Joseph, Marie Bidard, né à Rennes (paroisse St Etienne), le 25 octobre 1753, décédé le 23 février 1805, fils de Michel Bidard de la Noë, né à Rennes en 1718, avocat du roi au présidial de Rennes, puis procureur du roi en la Maréchaussée de Bretagne/ Mère : Rosalie Boulanger, née à Rennes (paroisse Saint Aubin) le 18 avril 1781- décédée à Rennes le 25 décembre 1849, fille de François Boulanger, fabricant de chapeaux. Le 3 février 1810, Rosalie Boulanger s'est remariée avec Joseph, Michel Loysel, bachelier en droit. Théophile Bidard avait deux frères : Joseph, Marie, Baptiste, né en 1801, avoué près le tribunal civil de Rennes, et Paul Emile Marie, né en 1803 principal clerc de notaire (leurs états professionnels figurent dans l'acte de mariage de Théophile Bidart et de Léonie Belloir).
Mariage : 11-6-1827 (Rennes (Ille et Vilaine))
Belloir , Léonie - Date et lieu de naissance : 1806 (Rennes (Ille et Vilaine))
Négociant
Deux filles parvenues à l'âge adulte, au moins deux fils, décédés (Théophile et Léonce, Marie) en bas âge.
Témoins à ce mariage : Joseph, Michel Loysel, avoué près le tribunal civil, beau-frère de l'épouse et probablement beau-père de l'époux. Un cousin de l'épouse, Jean Marie Roquet, est avocat
Aucune publication savante, ce qui est regretté par les recteurs, doyens et l'inspecteur Laferrière, lesquels déplorent régulièrement que ce professeur au caractère raide, à l'esprit pénétrant et volontiers tranchant, par ailleurs très apprécié et très écouté par les étudiants, ait préféré consacrer ses loisirs à la profession d'avocat, où il semble avoir excellé.