Commentaires

Dès son arrivée à Toulouse, Hauriou n'a pas fait mystère de son envie d'être nommé à Paris (cf. notices individuelles et courriers jusqu'en 1890). Ses relations avec les doyens successifs, Bonfils, et plus encore Paget, ont à l'évidence été difficiles. Il lui est reproché de manquer de zèle, de se fier par trop à sa grande intelligence au détriment du travail, d'être trop sec et trop obscur dans ses cours.