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Il succède à Gény, non sans difficultés. Le doyen Senn estimait que son retour à Nancy sur la chaire de droit civil "compromettrait les intérêts scientifiques dont la faculté doit assurer la sauvegarde". En juillet 1933, une majorité du conseil de la faculté avait suivi le doyen et un avis défavorable avait été donné à sa candidature, alors même que la faculté n'avait pas de candidat à lui opposer. Parisot a toutefois fini par avoir gain de cause, certainement grâce à la section permanente du Conseil supérieur de l'Instruction publique.